2018-12-11-Reportage-Saponalia.mp3 (6.94 Mo)
Vous ne trouverez pas son nom sur les étiquettes des produits qu’elle fabrique et pourtant vous utilisez – sans le savoir peut-être – du savon liquide fait à Peyruis dans les Alpes de Haute-Provence.
Docteur en pharmacie spécialisée en cosmétique et ancienne de l’entreprise BEA de Forcalquier, Béatrix Beaudéant a créé Saponalia en 2010 après plus de 20 ans d’expérience dans le secteur.
Avec ses collaborateurs, elle fabrique du savon liquide à l’ancienne en discontinu. Cette méthode est dite « de Marseille » car la plus traditionnelle. Savon liquide pour les mains, liquide vaisselle au savon de Marseille, savon pour la douche, noir ou pour le lavage des fruits et légumes, toute la production peyruisienne est réalisée pour des marques et enseignes de cosmétiques qui sont ses clients directs ; mes meilleurs commerciaux ajoute la cheffe d’entreprise avec malice. Naturellement glycériné, le savon nettoie et nourrit la peau en profondeur son histoire est vieille de 5000 ans !
Et à Peyruis, on choisit avec soin la matière première et ses adjuvants (coprah, huile d’olive, argan, néroli, verveine etc mais pas de produits de synthèse) après avoir établi des formules selon les demandes des clients. Un laboratoire scientifique et des unités de fabrication et de conditionnement qui s’inscrivent dans une démarche de développement durable. Chaque année, 300 tonnes de savon liquide sortent des cuves bas-alpines, cela représente 450 000 flacons qui partent en France, Europe, outremer, Amérique etc.
Mais aussi, l’équipe de Béatrix Beaudéant a contribué activement à la réalisation de son outil de travail. De la conception des cuves et leur agencement jusqu’à la chaîne de conditionnement et au stockage avant expédition, tout est rationalisé au maximum. Sécurisé aussi pour ce qui est de l’usage de la potasse, minerai nécessaire pour faire du savon mais dangereux et caustique. Quant à l’ambiance au sein de l’entreprise, elle est radieuse il n’est pas rare de voir les ouvrières mettre les flacons dans les cartons d’emballage en rythme et musique...
Docteur en pharmacie spécialisée en cosmétique et ancienne de l’entreprise BEA de Forcalquier, Béatrix Beaudéant a créé Saponalia en 2010 après plus de 20 ans d’expérience dans le secteur.
Avec ses collaborateurs, elle fabrique du savon liquide à l’ancienne en discontinu. Cette méthode est dite « de Marseille » car la plus traditionnelle. Savon liquide pour les mains, liquide vaisselle au savon de Marseille, savon pour la douche, noir ou pour le lavage des fruits et légumes, toute la production peyruisienne est réalisée pour des marques et enseignes de cosmétiques qui sont ses clients directs ; mes meilleurs commerciaux ajoute la cheffe d’entreprise avec malice. Naturellement glycériné, le savon nettoie et nourrit la peau en profondeur son histoire est vieille de 5000 ans !
Et à Peyruis, on choisit avec soin la matière première et ses adjuvants (coprah, huile d’olive, argan, néroli, verveine etc mais pas de produits de synthèse) après avoir établi des formules selon les demandes des clients. Un laboratoire scientifique et des unités de fabrication et de conditionnement qui s’inscrivent dans une démarche de développement durable. Chaque année, 300 tonnes de savon liquide sortent des cuves bas-alpines, cela représente 450 000 flacons qui partent en France, Europe, outremer, Amérique etc.
Mais aussi, l’équipe de Béatrix Beaudéant a contribué activement à la réalisation de son outil de travail. De la conception des cuves et leur agencement jusqu’à la chaîne de conditionnement et au stockage avant expédition, tout est rationalisé au maximum. Sécurisé aussi pour ce qui est de l’usage de la potasse, minerai nécessaire pour faire du savon mais dangereux et caustique. Quant à l’ambiance au sein de l’entreprise, elle est radieuse il n’est pas rare de voir les ouvrières mettre les flacons dans les cartons d’emballage en rythme et musique...